Jaune comme le printemps

(16 avril)

Depuis trois jours, il fait beau et chaud. Non mais vraiment chaud, au point qu'on se croirait au mois de juillet (il faisait 27° dans notre chambre, hier soir; et oui, j'ai coupé le chauffage). Ce qui n'empêche pas mes deux grands de se promener avec un blouson, suivant l'adage "en avril..."
Bref.
Sous ce chaud soleil, le colza est resplendissant, jaune intense et lumineux; mais il n'y a pas que lui. La couleur du printemps, celle des premières fleurs qui ont illuminé la grisaille, c'est incontestablement le jaune.
Il commence un peu à faner, celui-là, mais il reste des primevères en pagaille, elles foisonnent encore, là où l'herbe n'a pas été coupée.












Certaines n'ont que le coeur jaune, mais je les trouve encore plus belles.

























Et puis il y a le jaune envahissant des pissenlits. Certains champs en sont remplis. Les pelouses de la ville sont assez jaunes, elles aussi, parce qu'elles ne subissent pas de traitement chimique.
Au bord du chemin





















ou bien caché au fond du jardin,



le jaune est partout.

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